emprunts (immobiliers ou de consommation) pour un montant égal au capital restant dû au 1er janvier (+ intérêts restant à payer), découverts bancaires au 1er janvier, dettes restant à régler envers des prestataires de services ou entrepreneurs de travaux, lorsque les factures ou les notes d'honoraires sont antérieures au 1er janvier;

capital constitutif (ou valeur de capitalisation) d'une rente viagère, dont le paiement incombe au contribuable, ou d'une pension alimentaire résultant d'une décision judiciaire (jugement de divorce, par exemple);

certains impôts restant à payer au 1er janvier, dont ISF lui-même, IR dû au titre des revenus de l'année précédente, taxe d'habitation, taxes foncières, droits de mutation (droits de succession et de donation, droit départemental d'enregistrement sur les ventes d'immeubles, par exemple).

A noter:
Les dettes se rapportant à des biens professionnels, exonérés d'ISF, sont déductibles (si justifiées) :
en priorité, de la valeur des biens professionnels, en cas d'excédent, de la valeur des biens imposables.

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